Une Mexicaine subit 20 opérations esthétique pour plaire aux narcotrafiquants

Dans le dernier épisode d’Enquête Exclusive diffusé sur M6, les téléspectateurs ont été plongés dans le monde complexe de la chirurgie esthétique extrême au Mexique. L’émission met en lumière le récit poignant d’une mexicaine qui a subi pas moins de 20 opérations chirurgicales dans le but de plaire aux narcotrafiquants. Sans tabou, Jannet dévoile les raisons qui l’ont poussé à être complètement métamorphosée.

Jannet s’explique ! une déclaration poignante !

Le dernier épisode d’Enquête Exclusive a choqué un grand nombre de téléspectateurs. Le cas de Janet, qualifiée de « buchona » au Mexique, offre un aperçu saisissant d’une réalité sociale complexe où la chirurgie esthétique devient un moyen de répondre aux normes particulières imposées par le monde des narcotrafiquants. Le terme «buchona» fait référence à une femme associée aux membres des cartels de la drogue, et dans cette sous-culture, l’apparence physique revêt une importance particulière.

Pour répondre aux attentes esthétiques de son époux, Janet a choisi de subir pas moins de 20 opérations de chirurgie esthétique. Ce phénomène, bien que surprenant, est devenu malheureusement courant au Mexique, où les femmes liées aux narcotrafiquants ressentent une pression intense pour correspondre à une image. Il faut que je sois très élégante pour attirer le regard des gens importants ici, des narcos. Comme ça, quand ils me voient passer, ils se disent

« Regarde, comme elle est jolie, je la veux”. Déclare Janet avant d’ajouter : « Évidemment, il faut que ce soient des narcos pour avoir autant d’argent et pour pouvoir t’en donner et t’acheter tout ce qu’il te plaît. Par exemple pour t’acheter une nouvelle voiture, un nouveau portable, pour te donner de quoi acheter ces extensions. »

“Cela fait partie de la buchona”

Janet, en toute lucidité, reconnaît le caractère abusif de la situation, mais souligne le poids social et les attentes auxquelles les femmes de narcotrafiquants sont confrontées. Dans ce complexe de sous-culture, il existe une pression explicite pour que les femmes correspondent à un certain idéal de beauté, souvent teinté d’opulence et de luxe. Pour elles, subir des opérations de chirurgie esthétique devient presque une norme, dictée par le désir de se conformer aux attentes de leurs partenaires.

“Cela fait partie de la ‘buchona’. Les femmes de narcos doivent être parfaites de la tête aux pieds (…) Je dois bien m’occuper de lui, me comporter comme une bonne épouse, pour qu’en retour, il soit gentil avec moi”. Dévoile Janet.

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